Nag Ansorge

La mémoire d'un homme existe à travers celle des autres et ne se meurt que lorsqu'on l'oublie.
Le grand homme et cinéaste Nag Ansorge mérite de vivre encore.


"The Raven" 1967

Selon moi, le passage ci-dessus est le meilleur instant de son cinéma, le plus marquant.



Une rencontre, un profond regard, une mémoire.